Au fil des années, le chauffe-eau solaire est devenu un équipement courant sur les maisons individuelles réunionnaises. Ce qui est plus récent, c’est de voir apparaitre cette technologie sur des bâtiments plus grand accueillant plusieurs logements, lors de réhabilitation ou des programmes d’évolutions du bâti.

Ainsi, ce sont 300 studios étudiants du sud de l’ile qui sont équipés d’installations collectives à stockages centralisés depuis plusieurs mois. Ces installations permettent de proposer l’eau chaude solaire à l’ensemble des occupants des logements d’un bâtiment sans avoir à équiper chaque studio d’un ballon d’eau individuel.

Pour le bâtiment du CROUS St Pierre qui propose 200 logements et celui du Tampon proposant 100 logements, les techniciens Gaïa ont installé 2 centrales fonctionnant de la manière suivante : les capteurs solaires thermiques sont situés sur le toit du bâtiment. Ils permettent de chauffer l’eau qui est ensuite stockée dans les ballons installés à l’intérieur d’un local technique dédié. Le réseau d’eau permet de répartir et acheminer l’eau chaude dans chaque logement. (voir schéma ci-dessous). 

Pour les professionnels et constructeurs d’ensembles immobiliers avec plusieurs logements, ce type d’installation est très avantageux pour plusieurs raisons :

• Une meilleure performance énergétique et donc des couts financiers et environnementaux amoindris.
• Un gain de place pour les petits logements. Puisqu’il n’y a pas de ballon individuel, l’aménagement du logement est optimisé.
• Le système est extrêmement fiable et présente un risque de panne très faible, c’est une vraie garantie pour l’occupant et très rassurant pour l’investisseur.
• Sur un bâtiment existant ayant déjà une installation collective, ce système est facile à adapter et intégrer.
• L’investissement et cout de maintenance sont plus faible que sur un autre type d’installation.

En plus, Gaïa propose un système de suivi de fonctionnement et de télégestion, permettant au client d’interagir en temps réel avec les équipes de maintenance.